25 mai, 2013



Alors voilà

Aujourd'hui, pas de moto, pas de voyages, pas de restau, rien, juste l'envie de faire partager une bonne adresse, virtuelle.

Parce que le monde est moche, parce qu'il est beau, parce qu'il est pourri par le pognon ou ensoleillé par un môme qui rigole, mais qu'il est composé de gens avec des vrais morceaux d'humanité dedans, allez voir :

http://alorsvoila.centerblog.net/

Non, je veux dire, allez VRAIMENT voir ce blog.

Après ça je me dis que j'ai l'air un peu futile d'encombrer le WWW à raconter mes souvenirs à deux balles, mais bon, il en faut aussi du futile et du léger de temps en temps...

A ce propos, tant qu'on parle de bonnes adresses du net, moi j'aime bien :

http://www.mozinor.com/
et
http://vidberg.blog.lemonde.fr/

Parce que faut pas non plus trop se prendre au sérieux !

21 mai, 2013


Les Cinq Terres

Il y a des endroits comme ça, où on reste sur le c..

Au détour d'une route de montagne, on a la vue qui tombe à pic dans la mer et puis on voit, tout en bas, une petite ville rouge, bleue, jaune et des bateaux de la même couleur. C'est magique.

Alors, faut couper le moteur, retirer le casque et puis ouvrir grand les yeux, et là on reste suspendu, sans rien dire, le temps s'est arrêté.

On venait d'arriver aux Cinque Terre (les 5 terres, vous aviez pigé, c'est sympa l'italien, on comprend presque tout).

Pour vous situer, c'est là : http://goo.gl/maps/BZ5Vn

Un des sites ouaibe : http://www.cinqueterre.it/info.php

Après avoir longé la Riviera Italienne et son ambiance qui fait imaginer ce que devait être la Côte d'Azur dans les années 50, passez Gènes et suivez la côte jusqu'à Sestri Levante. Là, au bout d'une zone industrielle, vous tombez sur une file de voitures arrêtées, avec les conducteurs qui discutent entre eux ou lisent le journal en regardant nonchalamment vers un chronomètre affiché au-dessus de l'entrée d'un tunnel.

http://goo.gl/maps/cD44t

Le chronomètre se rapproche du zéro, plus aucune voiture ne vient en face, les petites minettes en scooter enfilent une veste alors qu'il fait 35°, les moteurs démarrent et gentiment, tout ce petit monde rentre dans la "Galleria". Et c'est parti pour un tunnel où il fait vraiment très froid (par comparaison avec l'extérieur, on comprend les minettes en anorak au mois de juillet), et où on pourrait toucher les bords en étendant les bras.

Tout d'un coup, le tunnel ressort à l'air libre pour 100 mètres, en plein éblouissement on a le temps de voir une petite plage avec 5 parasols et un marchand de gelatti, et on replonge dans les entrailles des Apennins. Rien que ça c'est déjà magique, on voudrait continuer ainsi durant des heures.

Au bout d'une dizaine de kilomètres de trou noir et de mini-stations balnéaires, on retrouve le ciel bleu, la route redevient normale et pas d'autre choix que de remonter dans la montagne et de suivre la crête. Enfin, c'est l'apparition miraculeuse, on est aux Cinque Terre.

Il s'agit d'un groupe de cinq villages coincés entre mer et montagne, qui vivent depuis des siècles de la vigne et de la pêche, répartis le long d'une côte abrupte qui va jusqu'à La Spezia. Pour chacun, une seule minuscule route pour accéder, en voiture il faut se garer à des kilomètres, heureusement en moto on peut arriver à l'entrée du village, ensuite c'est des petites rues fraîches, des places ensoleillées et des escaliers comme en Italie, on dirait le sud, avec du linge étendu sous les fenêtres et c'est joli...


Même pour un mois d'été, l'ambiance n'est pas trop touristique, il y a toujours des vrais gens qui habitent ici et vous parlent gentiment, et sont plutôt contents quand on leur dit qu'il sont dans le plus bel endroit du monde.

Chaque village a sa particularité, d'abord c'est Monterosso, la seule vraie station balnéaire avec sa plage à parasols ; Détail amusant, il y a une voie ferrée qui longe la côte et la gare est placée à deux pas de la plage.

Quand je dis deux pas, c'est deux pas : Entre le quai de gare et le sable, il y a un trottoir où on ne marche pas à trois de front. On voit donc les locaux descendre du wagon avec la serviette sur l'épaule, à la limite ils sont déjà en maillot, et sauter dans l'eau alors que le train est à peine reparti.


Ensuite il y a Vernazza et son petit port, Corniglia accrochée à la corniche et ses millions de marches pour descendre sur la mer, Manarola et enfin Riomaggiore où le port est si petit que les barques sont rangées dans les rues.



Tous les villages sont reliés par une voie ferrée, je l'ai dit plus haut, mais aussi par un sentier de randonnée où on découvre encore mieux ces paysages fabuleux.

Pour l'hébergement, à mon avis il faut réserver deux ans à l'avance ou payer le prix fort, on a trouvé un hôtel à 30 Km de la côte (5 Km à vol d'oiseau...), à Borghetto Di Vara, à côté de la station de bus.

http://goo.gl/maps/Gsuky

On aurait peut-être pu trouver plus près, mais c'était sympa, bon marché et refait à neuf, et la route était assez amusante pour aller aux Cinque Terre, même si on se faisait prendre 5 secondes au tour par les mômes en scooter, en chemisette et sans casque.

Dans les villages on trouve de quoi se restaurer sans problèmes,depuis l'épicerie pour le pique-nique jusqu'au restau *****, en passant par l'honnête pizzeria aux prix raisonnables.

Une fois dans votre vie, allez aux Cinque terre, c'est inoubliable, c'est l'Italie, que vous dire encore pour vous inciter à y aller ? Découvrez-les vous-même, chacun y trouvera son petit goût de paradis.

Je ne peux cependant pas parler de ce site sans évoquer une catastrophe survenue en octobre 2011, des terribles inondations ont ravagé la région, des villages ont été dévastés par des torrents de boue de près de 2 mètres de hauteur. J'ai même vu que l'hôtel cité plus haut avait été endommagé (il est près d'un pont sur une petite rivière qui n'était qu'un filet d'eau à chaque fois qu'on est passés par là), j'espère qu'ils ont pu s'en sortir, les proprios avaient fait des gros travaux dans l'un des bâtiments.

A priori, le courage et la ténacité des habitants ont permis de reconstruire au mieux, alors, ne serait-ce que pour rendre hommage à leur volonté de préserver ces sites, allez-y...







20 mai, 2013



Pays de Bray, mai 2013

Le seul rayon de soleil du week-end pointe le bout de son nez, vite on part en balade pour quelques heures.

Au bout de mon jardin, il y a le Pays de Bray, à la limite entre la Picardie et la Normandie. Les routes sont jolies et en bon état, le paysage est vallonné et les villages sont plutôt bien conservés.

Attention, quand je dis que les routes sont jolies, leur largeur est parfois équivalente à celle d'une BMW 1200 GS avec les valises d'aventurier et elles sont agrémentées de branches tombées, gravillons, trous divers et animaux variés à plumes et poils (plus rarement à écailles). Si vous voulez rouler gaz à fond sur un billard de 30 mètres de large, arrêtez-vous là et lisez plutôt le blog du mec qui fait la course avec le TGV sur l'autoroute...

On est donc partis partis pour un petit tour de trois heures, soit environ 150 Km. Ben oui (voir plus haut), on est là pour se promener et profiter du paysage. Et encore, quand je dis trois heures, faut compter le temps de la pause-café, des pauses-pipi et des pauses-photos.


Pour vous situer, ça se passe dans ce coin-là :

http://goo.gl/maps/O6fZ3


J'ai trouvé le moyen de mettre des liens vers des fichiers GPS (Merci à Zythom pour son article à ce sujet), vous les trouverez ci-dessous ; Je ne garantis pas la compatibilité absolue avec votre équipement, mais ça marche avec Google Earth et ça vous donnera une première idée.

Pays de Bray (format GDB)
Pays de Bray (format GPX)

On part de l'Isle-Adam dans le Val d'Oise (40 Km au nord-ouest de Paris, suivre la direction A16) et on arrive à Pontoise (retour à Paris par l'A15, environ 30 minutes).

L'itinéraire proposé passe par Méru dans l'Oise, et suit ensuite (plus ou moins) les panneaux "Promenade en Pays de Bray", selon une boucle vers le nord. Il y a une variante un peu plus longue qui part plus vers la Normandie, dès que j'ai bricolé les fichiers je les ajoute sur cette page.

Quelques adresses :

- Restaurant "Histoire de Famille" à l'Isle Adam, pas donné mais original et de qualité.
- Pour quelque chose de plus traditionnel et abordable, la pizzeria "Il Paradiso", planquée dans une petite rue derrière le cinéma, italien jusqu'au bout des ongles
- Les bistrots de la place Jeanne Hachette à Beauvais, ambiance provinciale !

A noter, pour ceux qui aiment les vieilles pierres et les paysages bucoliques :
Abbaye de St-Germer de Fly
- Gerberoy , magnifique village célèbre pour ses roses, tellement bien conservé que de nombreux films y ont été tournés

- Eglise de Saint-Sulpice, avec un beau point de vue sur la région (dommage que l'autoroute A16 passe en plein milieu...)
- Château de Troissereux




Bonne promenade ! !


15 mai, 2013



Mes motos (1)

Tiens, pour changer un peu, on va parler de deux choses qui m'intéressent : Moi et les motos. Ou plutôt, MES motos.

Découvrant à l'âge de 12 ans ce monde merveilleux au travers des images Panini, j'attendais avec impatience le moment où je pourrai moi aussi sillonner les routes avec mon bolide rutilant. C'était au début des années 70, on bavait devant la 4-pattes Honda, la 900 Kawa et la Guzzi Le Mans.

Finalement, le bolide rutilant a été une sage CBS125 Honda, qui m'a appris la modestie, l'humilité et les frayeurs au freinage, et m'a fait prendre conscience du coefficient de frottement de la peau sur du bitume. Ce sympathique poney m'a aussi montré, à sa manière, le chemin vers la liberté et les grands espaces. Enfin, pas trop, fallait rentrer de bonne heure pour bosser pour le bac.



Mes fantasmes de l'époque étaient la BMW R90S et la Laverda 750, mais j'y reviendrai plus tard....

Après un bref épisode trialeux où j'ai constaté que j'avais quelques impossibilités physiques à faire l'acrobate sur deux roues, j'ai poursuivi ma période hispanisante en étant l'un des 42 acquéreurs français de ce qui me semblait être LA moto de voyage par excellence du moment (hormis la Béhème, bien entendu), du moins pour un budget raisonnable : La Sanglas 500S2

(si vous ne savez pas ce que c'est, comme 99% des motards de moins de 50 ans, regardez sur http://clan.sanglas.france.free.fr/wordpress/)

Avec cette machine ont commencé mes premiers voyages au quatre coins de l'hexagone (si, si, vérifiez) et mes premiers bricolages au bord de la route : le confort facilitait les uns et la qualité de fabrication expliquait les autres.



La machine était plutôt bien équipée :  3 freins à disques fonte (pas hyper-puissants mais endurants), partie cycle béton, éclairage confortable, pas trop fainéante à la tâche et une bonne autonomie.

Elle était moins prestigieuse que ses concurrentes directes la Guzzi V50 ou la BMW R45LS, mais moins chère. A cette époque je voulais éviter les motos japonaises, ne me demandez pas pourquoi, c'est mon côté snob, j'suis comme ça.

Malheureusement, elle m'a permis de commencer une collection de soupapes d'échappement dans un état assez spectaculaire (voir photo ci-dessous) et de me perfectionner dans le câblage électrique. J'ajouterai à ce bilan un embrayage mal foutu qui ne laissait que le choix entre le patinage au-delà de 3000 Tr/min ou le point mort impossible à retrouver. Enfin, le mécanisme de kick possédait l'intéressante particularité de posséder un pignon fou intermédiaire qui adorait se coincer sur l'arbre primaire de boîte, heureusement la batterie de camion et le démarreur du même acabit ne m'ont (presque) jamais fait défaut.



Et puis au bout de 50000 Km, ça a été la panne de trop, piston explosé, pas de pièces disponibles avant des siècles... J'avais bien commencé à refaire une Guzzi 850 GT, mais elle n'était pas encore en état de rouler.

Alors une geisha aguichante m'a fait de l'oeil dans une vitrine et le vide dans mes économies : J'ai craqué pour une Yamaha XT550, la nouveauté de l'année.

Mais là j'ai été trop bavard pour ce soir, je continuerai un autre jour à radoter...




09 mai, 2013


Tharon-Plage, Mai 2013

En jonglant avec les ponts et les jours fériés, cette année en prenant 1/2 journée de RTT on arriverait presque à passer le mois de mai en vacances (j'exagère, mais presque pas).

Donc, on oublie de regarder le site de Météo-France et on part faire un tour sur les bords de Loire, promenade presque habituelle sur laquelle je reviendrai dans un futur message.

A force de descendre le cours du fleuve, on finit par arriver à son embouchure, forcément, et après l'estuaire on arrive sur le littoral, logique.

Icelui est muni de petites villes appelées "Stations Balnéaires", en plein essor depuis qu'un gouvernement progressiste a autorisé en 1936 le bas peuple à bénéficier de congés payés.

Au sud de l'estuaire, majestueusement gardé par le pont de Saint-Nazaire, on trouve des petits bijoux au charme suranné et aux rues défoncées par les racines des pins maritimes. En les parcourant, on découvre un échantillonnage complet de l'architecture représentative d'un lieu de villégiature, depuis la cabane de pêcheur jusqu'au bloc de béton que n'aurait pas renié le créateur de Brasilia, monsieur Oscar Ribeiro de Almeida de Niemeyer Soares, aussi appelé Nini par ses copains de bistrot.

Une promenade dans ces villages est aussi une balade dans le temps, et en hors-saison les locaux ont la parole facile et la fierté de leur contrée.

Découvrez donc Saint Brévin, Tharon-Plage, la pointe de Saint-Gildas, Préfailles et, dans un autre genre, le joli port de Pornic.

http://goo.gl/maps/CWwCU

Quelques adresses :

* Hôtel de la Côte de Jade à Tharon-Plage : La patronne est une artiste au style un peu surprenant et à l'éloquence remarquable, mais le lieu est sympathique et convivial
* Restaurant Le Bois Flotté, à 100m de l'hôtel : Pizzas originales et délicieuses, le secret c'est la pâte faite avec de la farine de sarrrasin, mais ne le dites à personne !










Les Hôtels

Au début, le camping c'était sympa, pas cher, un peu aventureux et convivial.

Et puis j'ai remarqué qu'à l'instant précis où je ficelais la tente sur le porte-bagages de la moto, les nuages commençaient à s'accumuler au-dessus de nos têtes pour ne plus nous lâcher jusqu'à la fin des vacances (j’exagère, mais à peine).

Ensuite, avec l'âge, il a fallu rajouter un matelas pneumatique dans les bagages, parce que les silex et les taupinières rendent le confort de plus en plus précaire. En plus, avec le matériel de cuisine et tout le fourbi, ça laissait finalement assez peu de place pour les vêtements, d'autant qu'il fallait quand même en changer de temps en temps pour avoir un minimum de sensation d'être au sec (voir paragraphe précédent).

Enfin, toute une foule de petites choses (prix et propreté des campings dès que le lieu est un peu touristique, accueil des motards, etc.) nous ont décidés de laisser tomber l'association Camping&Moto.

Ma philosophie du voyage étant de surtout ne rien planifier et d'aller à mon rythme, il fallait que l'hébergement soit quand même assuré malgré l'abandon de la tente. Depuis plus de 10 ans maintenant on fonctionne avec les petits hôtels de ville, et ça marche plutôt bien.

Le principe est de commencer à chercher dès 17H00 et de suivre les panneaux dans les villes (en évitant les hôtels de chaînes, immanquablement situés au milieu des zones commerciales qui plombent l'entrée de 95% des villes de plus de 10000 habitants). Si le patelin dispose d'une gare, il y a des chances qu'un hôtel du même nom jouxte l'édifice...

Sinon, mister GPS peut aussi donner un coup de main, mais l'inscription étant payante, j'estime que 20% des hôtels n'y figurent pas, surtout parmi ceux à prix modique. Pensez aussi aux offices du tourisme, ils peuvent même chercher à votre place !

Avec cette méthode, on trouve de tout :
- La petite dame qui tient l'établissement depuis 40 ans et vous dorlote
- Les nouveaux propriétaires qui auraient dû être ébénistes, comptables ou charcutiers, mais jamais hôteliers
- Le bon couple de bistroquets moyens, papy à bedaine et mémère à chien-chien mais qui sillonne l'Europe en Harley dès la fin de la saison
- L'artiste allumée qui a décidé de refaire à sa façon la déco des chambres

Mais aussi des chambres immenses, des minuscules coincées sous les toits, un panorama exhaustif du papier peint ringard de 1950 à nos jours, un petit déjeuner assurant la survie pour trois jours, etc.

Bref, une bonne dose de découverte et d'aventure, toujours riche d'enseignement sur la race humaine.

Mais une ombre se profile sur ce petit monde, c'est le spectre hideux et tentaculaire de la NORME.

Une telle impose que les portes coupe-feu fussent munies de ressorts, une autre oblige les accès handicapés à n'en point être munis, une troisième règlemente la taille des verres à dents et les organismes de contrôle pour la sécurité incendie font régler les détecteurs de façon à déclencher l'alarme dès qu'on oublie une tranche de pain dans le grille-pain... Tout ceci coûtant un bras à chaque nouvelle règlementation.

Moralité, tous ces petits hôtels vont disparaître un jour au profit des chaînes précédemment évoquées ; Alors, si vous avez l'occasion, tentez votre chance à l'hôtel du coin de la rue, avec un peu de chance une bonne surprise vous attend !

Introduction 

Bonjour à toutes et tous.

Depuis 40 ans, je roule en moto et j'ai toujours eu l'envie de faire partager mes découvertes, mes bonnes adresses, mes coups de cœur et mes coups de gueule.

Selon mon temps disponible, je publierai sur ce blog mes balades récentes, mais je remonterai aussi dans mes souvenirs ; La chronologie ne sera donc pas la caractéristique principale de ce blog !

Pour cette raison, certaines adresses ne seront peut-être plus aussi bonnes que lors de mon passage, voire les lieux n'existeront plus, les montagnes auront été déplacées pour laisser passer une autoroute, que sais-je...  Merci de votre indulgence si les informations ne sont plus valides, libre à vous de les actualiser dans vos commentaires.

De même, la photo n'est pas ma préoccupation principale lors de mes déplacements, je préfère en prendre plein les yeux, alors l'illustration de mes articles risque d'être un peu pauvre. Par contre, dans la mesure du possible, je posterai des liens vers les sites Web, sur les cartes Google et (si je trouve comment ça marche) je mettrai à disposition en téléchargement des fichiers d'itinéraire pour les GPS.

Et puis, comme il m'arrive aussi de m’arrêter de rouler, on pourra aussi discuter de choses et d'autres, selon l'humeur du moment et vos commentaires...

Amicalement, Joël

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